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Ma vie avec la Société canadienne du Cancer Québec
Friday, May 6, 2011
By: Lyne C. Bélisle
Grandir dans une famille où le bénévolat est un passe-temps où les rencontres avec la population, de les écouter, de les informer, de les rassurer et e les diriger vers des ressources aidantes, est vite devenu une seconde nature.
Depuis mon jeune âge, j'ai eu à côtoyer la mort sous plusieurs formes: un enfant qui se fait happer par un automobiliste, une jeune compagne d'école atteinte d'une forme de leucémie virulente, un grand-père qui succombe en moins de deux mois à un cancer, une tante atteinte du cancer du sein succombe suivi de sa jeune fille de 20 ans par une leucémie, un autre oncle qui meurt après un court combat, une tante qui survie au cancer du sein, un cousin qui est diagnostiqué à temps cancer pour une prostate défaillante, moi touché et traitée pour un cancer du sein, un cousine atteinte d,«un cancer des os et une de mes filles atteinte d'un hémangiopéricytome au niveau de la L2 qui s'en est sortie avec une corporectomie et une implantation de tiges de titane et d'une cage de titane, le tout sans aucune séquelle majeure ... OUFFF!
Ai-je besoin de rajouter que la recherche a fini par permettre des avancées :des vies et d'en assurer des qualités de vie qui n'auraient même pas eu espoir de pronostique positif.
Je crois fermement aux bons usages des collectes de fonds que la SSC dirige vers la recherche, les soins aux patients et au soutient aux familles pour ne nommer qu'eux.
Merci maman de m'avoir incluse dans ce cheminement de don soi
Il y a près de nous plusieurs personnes qui en sont la preuve vivante
L'implication donne des résultats tangibles ... LA VIE!
Lynoux qui aime la vie sous toutes ses formes
Donnons de notre temps, de nos énergies, de nos talents et peut-être des sous!
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